Au Creux du Monde raconte vingt-quatre heures (deux nuits et une journée) de trajectoires, de désirs, de mouvements. Des femmes et des hommes qui vont et viennent, traversent une ville dans la chaleur de l’été. Leurs gestes ne font d’abord sens que pour eux, pourtant vite nous les reconnaissons : ce sont des gestes que font les humains pour aller les uns vers les autres. Ce sont des gestes d’amour.