L'homme a-t-il tendance à se prendre pour Dieu ? Il souhaite contrôler ce qui ne dépend pas de lui, avoir une marge de manœuvre sur ce qui lui échappe. Ainsi, maîtriser sa mort devient un nouvel objectif : nous choisissons d'y mettre un terme par le suicide, nous apprenons à mieux l'appréhender ou, dans une démarche stoïcienne, à ne même plus la craindre.